
Certains le surnomment le « Steve Jobs », le « Mark Zuckerberg » du Bénin, mais lui, il préfère qu’on l’appelle tout simplement « Ulrich Sossou ». Derrière toutes ces appellations, se cache un jeune homme investi, charismatique et discret dont l’ascension n’a pas retiré un grain de son humilité. Installé en France depuis 2020, il compte parmi les grands noms de la Diaspora béninoise qui de loin laissent des empreintes positives dans leur pays. Parti de simples recherches sur internet, il est aujourd’hui une figure emblématique du numérique au Bénin. Il apporte aux jeunes béninois « la connaissance, la liberté et la richesse ». Le nombre de jeunes qu’il impacte est inestimable. Il va plus loin dans son engagement en aidant les entreprises et les organisations non gouvernementales avec la création des produits numériques pouvant leur permettre d’atteindre leurs objectifs.
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Marie-Cécile ZINSOU : Version authentique d’une pétillante histoire…d’ArtMOUR !
Autant le dire tout de suite: nous ne vous ferons pas ici l’affront de vous présenter le pedigree de la petite-nièce de l’ancien président Emile Derlin Zinsou et aussi petite-nièce du Cardinal Bernardin Gantin. Tout le monde, ou presque, sait ce qu’il y a à savoir sur l’arbre généalogique de la fille de Lionel Zinsou. L’évocation de son nom renvoie automatiquement à l’historienne d’art qu’elle est, mais aussi et surtout à la Fondation Zinsou qu’elle a créée. Fondation Zinsou, justement! Un coup d’œil au calendrier nous rappelle que nous sommes dans la 20ème année d’existence de la Fondation Zinsou. Un 20ème anniversaire que Marie-Cécile Zinsou, ses collaborateurs et ses partenaires artistes célèbrent avec le faste artistique requis, au ‘‘musée des PROMESSES’’ et ailleurs entre Cotonou et Ouidah. Un 20ème anniversaire qui nous apparaît comme le prétexte idéal pour présenter une exposition de cette œuvre d’art, Marie-Cécile Zinsou, comme jamais à ce jour un musée n’a osé le proposer. Une authentique œuvre d’art dont la naissance remonte à l’année 1982 et dont l’histoire véritable démarre en 2003. Le 07 octobre 2003…
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Self-made-man : Comment Euloge Babatoundé OLOU tisse sa toile au pays des Hommes intègres
Il est Consultant en Stratégies des médias sociaux pour ARCEP Burkina. Il revendique plus d’une douzaine d’années d’expérience dans divers domaines, notamment la production audiovisuelle, la stratégie marketing et communication, la gestion d’image et e-réputation, le e-commerce, la publicité digitale, l’édition. Il a formé plus de 4800 personnes et entreprises, animé plus de 90 ateliers et conférences, coaché plus de 100 professionnels en Afrique de l’Ouest. Euloge Babatoundé OLOU, puisqu’il s’agit de lui, a vécu une enfance heureuse à Tchikandou (village situé dans la commune de Nikki au nord du Bénin) avant de s’embarquer plus tard sur les voies chaotiques de l’aventure professionnelle aux pays des Hommes intègres ; un véritable parcours d’obstacles à l’issue duquel il s’est imposé comme un acteur incontournable dans l’univers de l’entrepreneuriat numérique au sein de la sous-région. Aujourd’hui à la tête de trois entreprises qui opèrent dans l’audiovisuel, la communication et la cybersécurité au Burkina-Faso, l’histoire de ce self-made-man a de quoi meubler le contenu d’une Master Class qui pourrait avoir pour thème : « Comment entreprendre et trouver sa voie en dépit d’un environnement parsemé d’embûches, jonché d’imprévues et de mauvaises surprises ? » Le Cas Euloge B. OLOU…
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Dr. Sègnonna Horace ADJOLOHOUN, un profil de ‘‘Président de la Cour constitutionnelle’’
Premier béninois nommé professeur associé à l’université de Western Cape (Afrique du sud). Premier béninois titulaire d’un doctorat en droit de l’université de Pretoria. Premier béninois ayant occupé le poste de chef du département juridique de la Cour africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. Des entrailles royales de la terre des Houégbadjavis aux cimes du droit international, le Docteur Sègnonna H. Adjolohoun, porte étendard d’une génération d’intellectuels qui redéfinissent les contours de la démocratie et de la justice, incarne une vision vivante de la souveraineté pour un continent africain véritablement décolonisé, plus autonome, plus libre et plus juste.Sa nomination à l’université de Western Cape consacre une reconnaissance de ses idées sur la renaissance de la contribution du continent africain à la construction du droit international. Et son parcours ressemble à un Guide à l’usage de tous ceux et celles qui rêvent d’avoir le profil pour être un jour éligible au poste de membre de la cour suprême ou de la cour constitutionnelle…
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